Au cours d’un séjour à Nevers, Annie tombe en arrêt devant les grands plastiques noirs qui enveloppent les “corps” des bâtiments en construction ou en restauration. Les chantiers deviennent des centres d’intérêt : accumulations de matériaux, rythmes des échafaudages, enveloppements de plastiques…Promenades matinales dans Avignon et ses places avec terrasses de cafés d’où émergent des parasols encore fermés qui ressemblent à des réunions de Pénitents encapuchonnés et enveloppés dans les plis de leurs soutanes, et où s’entassent des chaises emboîtées qui forment des rythmes variés et colorés.